Remarque sur le bon fonctionnement du Groupe Convivialité

Bonjour à tous,


Comme suite à la dernière réunion du groupe de travail Convivialité du Pôle Santé du 6 octobre dernier, je souhaiterais vous faire part de quelques remarques, qui font écho aux réactions de certains membres de ce groupe aussi bien qu’au souci de Madame V. Feipel d’en assurer, en tant que responsable, le fonctionnement le plus agréable et le plus efficace possible.

La première remarque concerne le nombre d’étudiants qui participent aux réunions. Nous nous étions entendus récemment sur le fait que, pour éviter de changer sans cesse les noms des représentants étudiants sur ma liste d’envoi, j’enverrai désormais les convocations (et CR) aux adresses des bureaux et cercles, à charge pour ceux-ci de déléguer (et transmettre) les (aux) étudiants de leur choix. Vous êtes arrivés en nombre la dernière fois, ce qui est une excellente nouvelle pour l’implication étudiante … mais une moins bonne nouvelle pour l’organisation de la réunion, surtout que je n’avais pas été prévenue. Chacun a pu constater en conséquence un problème de manque de places et de sandwiches.

La forte participation étudiante rend également le groupe de travail moins efficace dans ses discussions, puisque chacun, légitimement, veut pouvoir exprimer son opinion. Or, le groupe de travail Convivialité se réunit entre quatre et six fois par an, et se doit d’aller à l’essentiel, c’est-à-dire aux thématiques qui sont les siennes : l’amélioration de la convivialité sur le campus dans ses différents aspects. Ni moins … ni plus. Cela exclut donc les digressions qui, tout en étant intéressantes, ne font pas avancer le travail de ce groupe, soit parce que ce n’est pas le bon niveau pour régler le problème évoqué, soit parce que la thématique est étrangère au cœur de métier de ce groupe de travail. Chacun comprend que ce n’est pas dans cette enceinte que pourront en effet se régler des questions aussi générales que politiques, quand bien même celles-ci nous concernent dans notre quotidien à l’ULB et/ou en tant que citoyens.


En conclusion de tout ceci, je vous propose :
- de ne déléguer qu’une personne par bureau/cercle et d’avoir le sain réflexe de me tenir informée le mieux possible des présences (ceci pour pouvoir contenter vos estomacs et inversement pour éviter de gâcher – c’est déjà arrivé) ;
- de circonscrire nos discussions aux thèmes de travail du groupe.


J’espère que mon message n’est pour le coup pas trop … indigeste J, et compte sur votre bonne coopération pour que nous puissions continuer à travailler efficacement.


Bien cordialement,


Claire Corbin-Loescher